Journée internationale d’action pour la santé des femmes – 28 mai
Grossesse de localisation inhabituelle : à repérer précocement
Le Collège français d’échographie fœtale (CFEF) a élaboré une solution pour la sécurité du patient « grossesse de localisation inhabituelle : conduite à tenir devant la visualisation ou la non visualisation d’un sac ovulaire avec embryon ou vésicule vitelline ». Ce travail est le fruit des enseignements de l’analyse approfondie des évènements indésirables associés aux soins (EIAS) survenus lors d’examens d’échographies et déclarés dans la base de retours d’expériences du dispositif d’accréditation (REX-HAS) de 2007 à 2014.
Pour en savoir plus :
Grossesse de localisation inhabituelle : à repérer précocement – cliquer ici
Trisomie 21 – Intégrer les tests ADN libre circulant dans le dépistage
La HAS publie des recommandations sur la « Place des tests ADN libre circulant dans le sang maternel dans le dépistage de la trisomie 21 fœtale ». Ce travail confirme que ces tests représentent une innovation technologique indéniable. La HAS préconise leur introduction dans la procédure de dépistage actuelle de la trisomie 21 fœtale.
Pour en savoir plus :
Trisomie 21 – Intégrer les tests ADN libre circulant dans le dépistage – cliquer ici
Accouchement : éviter la surmédicalisation
La HAS a publié une recommandation de bonne pratique : « Accouchement normal : accompagnement de la physiologie et interventions médicales ». Objectif : aider les professionnels à répondre aux attentes des femmes concernant leur accouchement, notamment en limitant la surmédicalisation grâce à une redéfinition des pratiques des sages-femmes et des gynécologues obstétriciens respectueuses de la physiologie de la naissance.
Pour en savoir plus :
Accouchement : éviter la surmédicalisation – cliquer ici
Infections urinaires de la femme – Réduire les résistances bactériennes
Dans le cadre de la lutte contre l’antibiorésistance, la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf) et la HAS ont publié des fiches mémos sur la prise en charge des infections urinaires basses de la femme. Objectif ? Favoriser une prescription appropriée des antibiotiques pour réduire les résistances bactériennes pouvant conduire à des impasses thérapeutiques.
Pour en savoir plus :
Infections urinaires de la femme – Réduire les résistances bactériennes – cliquer ici
Endométriose : vers une prise en charge individualisée
La HAS a édité des recommandations sur la prise en charge de l’endométriose afin d’actualiser les recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) de 2006.
Pour en savoir plus :
Endométriose : vers une prise en charge individualisée – cliquer ici
Contraception : focus sur les méthodes efficaces
La HAS a réalisé un travail sur la contraception. Objectif : aider le professionnel de santé à identifier et à proposer la ou les méthodes les plus adaptées au profil et à la situation des personnes qui le sollicitent.
Pour en savoir plus :
Contraception : focus sur les méthodes efficaces – cliquer ici
IVG instrumentale, un cahier des charges pour les centres de santé
En France, près de 97 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) instrumentales sont réalisées chaque année. Or, le nombre d’établissements de santé pratiquant cet acte a considérablement diminué. Afin d’augmenter l’offre, les centres de santé peuvent, depuis 2016, réaliser des IVG instrumentales, jusqu’alors autorisées uniquement dans les établissements de santé.
Afin de garantir la sécurité des femmes et la qualité des soins, la HAS a élaboré un cahier des charges pour la réalisation des IVG instrumentales hors établissements de santé.
Pour en savoir plus :
IVG instrumentale, un cahier des charges pour les centres de santé – cliquer ici
Cancer du sein : modalités spécifiques de dépistage pour les femmes à haut risque
Le cancer du sein est le plus fréquent des cancers chez la femme et celui responsable du plus grand nombre de décès. Pour les femmes à haut risque, la HAS a élaboré en 2014 des recommandations sur le dépistage de ce cancer. Pour les femmes de 50 à 74 ans sans autre facteur de risque que l’âge, un programme national de dépistage organisé a été mis en place en 1994 et généralisé à l’ensemble du territoire en 2004. Elles bénéficient d’un examen clinique des seins et d’une mammographie de dépistage tous les 2 ans.
Pour en savoir plus :
Cancer du sein : modalités spécifiques de dépistage pour les femmes à haut risque – cliquer ici
Source : (cliquer sur l’image pour accéder au lien)
Les pratiques > Gynécologie obstétrique